Cet article vous est offert

Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous

Se connecter

Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement

BioNTech, le champion des vaccins contre le Covid-19, a annoncé son intention de racheter son compatriote, CureVac, pour un montant d’environ 1 milliard d’euros.

Article réservé aux abonnés

Un employé brandit un flacon d’un produit oncologique en cours de développement, à l’institut de recherche BioNTech de Mayence, en Allemagne, le 5 octobre 2022.

Ils ont longtemps été en concurrence. Les deux pionniers allemands de l’ARN messager, cette technologie démocratisée en 2020 lors de la pandémie de coronavirus grâce aux vaccins contre le Covid-19, s’apprêtent à convoler. BioNTech, installé à Mayence, a annoncé, jeudi 12 juin, son intention d’acquérir son rival de longue date, CureVac, basé à Tübingen, dans le Land du Bade-Wurtemberg, pour un montant d’environ 1,25 milliard de dollars (1,08 milliard d’euros).

Ces deux spécialistes des thérapies à ARN messager, qui se sont lancés dans le développement de cette technologie prometteuse au début des années 2000, avaient été mis en lumière lors de la pandémie de Covid-19, alors que le monde cherchait désespérément à endiguer la propagation du virus. BioNTech, qui avait fait le choix de s’associer au laboratoire pharmaceutique américain Pfizer dans la course au vaccin, était alors parvenu en quelques mois à mettre au point et à commercialiser un produit utilisant l’ARN messager, le premier au monde à avoir décroché une autorisation des autorités de santé. Ce dernier, dont plusieurs milliards de doses ont été vendues depuis, a fait la fortune de la biotech allemande, qui disposait encore, au 31 mars, d’une trésorerie proche de 16 milliards d’euros, malgré des résultats en baisse.

Il vous reste 73.98% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

Découvrir les offres multicomptes
  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.