Cet article vous est offert

Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous

Se connecter

Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement

A Dunkerque, dans le Nord, où elle avait promis en 2023, en présence d’Emmanuel Macron, une gigafactory et 3 000 emplois, la start-up taïwanaise remanie les plans de son usine pour s’adapter à un changement technologique. A Douai, en revanche, le projet du sino-japonais AESC avance comme prévu.

Article réservé aux abonnés

Le président de la République, Emmanuel Macron, aux côtés du PDG du fabricant de batteries taïwanais ProLogium, Vincent Yang, lors d’une visite de l’usine Aluminium Dunkerque, à Loon-Plage (Nord), le 12 mai 2023.

C’était le 12 mai 2023. Quatre jours avant le 6e sommet Choose France à Versailles, le président de la République, Emmanuel Macron, se rendait à Dunkerque (Nord) pour annoncer la bonne nouvelle : le groupe taïwanais ProLogium avait choisi la France, avec l’aide du cabinet de conseil Accuracy, pour construire une gigafactory – une immense usine – de batteries pour voitures électriques. Investissement total : 5,2 milliards d’euros, d’ici à 2030. Aides publiques : 1,4 milliard d’euros. « Un avantage déterminant pour le choix de la localisation », reconnaissait alors le patron France de ProLogium, Gilles Normand, qui a quitté le groupe depuis. Les Etats-Unis, au même moment, proposaient aux investisseurs étrangers d’apporter une aide importante à la batterie produite, mais pas à l’investissement initial.

Côté emplois, la promesse était aussi remarquable : 3 000 dans l’usine, 12 000 au total avec les emplois indirects. La production des batteries ProLogium devait commencer fin 2026. Leur technologie, mise au point par le patron fondateur, Vincent Yang, serait révolutionnaire aux dires de ce dernier qui en faisait volontiers la démonstration, une paire de ciseaux à la main : on peut la cogner, la plier, la découper, sans qu’elle s’enflamme ou se dégrade grâce au matériau céramique qu’elle utilise.

Il vous reste 77.38% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

Découvrir les offres multicomptes
  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.