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La participation des pensionnés à l’assainissement des finances publiques, sujet ultra-sensible, a été évoquée très prudemment par un exécutif en quête d’économies.
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L’exécutif vient d’entrebâiller la porte avec d’infinies précautions. Dans un entretien au quotidien Le Parisien, mis en ligne samedi 19 avril, la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin, n’a pas rejeté l’hypothèse d’une suppression de l’abattement fiscal de 10 % dont bénéficient les retraités. Le simple fait que cette éventualité soit envisagée retient l’attention, car elle est extrêmement sensible, toutes les forces politiques étant contre, y compris celles qui soutiennent l’équipe de François Bayrou. Alors que le chef du gouvernement a organisé, le 15 avril, un premier « comité d’alerte » pour préparer le budget 2026, Bercy explore un large éventail d’options susceptibles de faire rentrer de l’argent dans les caisses de l’Etat.
A la question de savoir si elle entend maintenir l’allégement d’impôts accordé aux retraités, Mme de Montchalin s’est abstenue de dire oui : « Ce n’est pas votre âge qui doit définir votre contribution mais aussi les moyens dont vous disposez », a-t-elle expliqué, de façon sibylline, au Parisien.
Quatre jours plus tôt, le ministre délégué à l’industrie et à l’énergie, Marc Ferracci, s’était montré un tout petit peu plus tranché au sujet de la possible remise en cause de cette niche fiscale : « Ça fait partie, effectivement, des pistes crédibles », avait déclaré, le 15 avril sur France Inter, ce proche du chef de l’Etat. « A partir du moment où l’on dit que les efforts sont partagés, on ne peut pas exclure, par principe, une catégorie de la population », avait-il ajouté.
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