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Le secteur bancaire européen a particulièrement souffert de la tourmente boursière déclenchée par Donald Trump. Les banques sont très exposées aux cycles économiques, mais la gestion des risques n’a plus rien à voir avec celle de la crise financière mondiale de 2008.

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Les locaux de Société Générale, dans le quartier de La Défense, à Paris, en septembre 2023.

Agitée pour l’ensemble des marchés, la séquence boursière ouverte par les annonces de Donald Trump mercredi 2 avril n’a pas épargné les valeurs bancaires, en Europe comme aux Etats-Unis. En France, Société générale a perdu 17 % sur les séances de jeudi 3, vendredi 4 et lundi 7 avril, BNP Paribas 15 %, alors que le CAC 40 cédait de son côté 11 %, avant de rebondir timidement en ouverture de séance, mardi.

Pour ces poids lourds financiers, la sanction est d’autant plus lourde que le début de l’année avait été faste : le titre Société générale avait, par exemple, bondi de plus de 60 % entre le 1er janvier et le 25 mars, et l’indice Stoxx européen du secteur avait pris 23 % sur les trois premiers mois de l’année, profitant de la solidité des résultats financiers 202,4, dopés par la remontée des taux d’intérêt et la santé des activités de marché.

« Depuis le début de l’année, le secteur était l’un des préférés des investisseurs : il était redevenu véritablement rentable, il était devenu moins ringard, plus intéressant », explique Jérémie Boudinet, responsable de la gestion des dettes financières et subordonnées chez Crédit mutuel Asset Management, pour qui la chute des derniers jours reflète d’abord « un effet de dégonflement ».

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