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Si aucun dommage n’a été causé aux installations de raffinage et aux dépôts de pétrole, selon l’Iran, l’offensive fait craindre une baisse de la production de la République islamique.

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Devant un bâtiment touché par une frappe israélienne à Téhéran, le 13 juin 2025.

Les frappes aériennes menées par Israël, dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin, contre plusieurs régions d’Iran rappellent qu’à chaque regain de tension géopolitique les cours du pétrole peuvent s’enflammer de nouveau. Vers 4 heures du matin, vendredi, le baril de brent de mer du Nord a bondi de 10 %, pour atteindre 76 dollars (66 euros), avant de dépasser, plus tard dans la journée, les 78 dollars. Même rebond pour le West Texas Intermediate, référence américaine. Soit « la plus forte hausse en une seule journée depuis cinq ans », d’après les analystes de S&P Global Commodity Insights.

Pourtant, depuis avril, la tendance était clairement à la baisse. Sous le double effet du président américain, Donald Trump (guerre commerciale tous azimuts), et des barils supplémentaires annoncés par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), les cours de l’or noir avaient plongé sous les 70 dollars. Aujourd’hui, ils se rapprochent de nouveau de leur prix moyen de 2024, qui était d’environ 81 dollars.

Accusant Téhéran d’avoir financé et organisé les attaques du Hamas palestinien contre Israël le 7 octobre 2023, le gouvernement du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a déclaré avoir notamment ciblé, dans la nuit du 12 au 13 juin, un site nucléaire d’enrichissement d’uranium en Iran, qu’il suspecte de préparer une bombe atomique. « Aucun dommage n’a été causé aux installations de raffinage et aux dépôts de pétrole du pays, et actuellement les activités de ces installations ainsi que l’approvisionnement en carburant se poursuivent dans toutes les régions du pays sans interruption », déclarait cependant, par communiqué, vendredi en tout début de journée, le ministère du pétrole iranien.

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